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Titre: Comment sauver un vampire amoureux, tome 2
Auteur: Beth Fantaskey
Maison d'édition: Le Livre de Poche
Année d'édition: 2013
Nombre de pages: 360 pages
Prix: 7,10 €
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La suite de Comment se débarrasser d'un vampire amoureux de Beth Fantaskey.
La découverte de son appartenance à une famille de vampires avait laissé Jessica Packwood un peu ébranlée l’an dernier. Et ce n’était que le début. À présent mariée au prince Lucius Vladescu, elle doit s’imposer en tant que souveraine devant une famille de vampires aux dents longues qui ne demandent qu’à l’écarter du trône. Autant dire que sa complète ignorance de la langue roumaine, des us et coutumes de la cour vampire et la terreur que lui inspire sa belle-famille ne l’aident pas. Quand on retrouve le corps d’un des Anciens, assassiné avec le pieu de Lucius, tout accuse le prince-vampire. Emprisonné dans le château, affaibli par le manque de sang, il dépérit peu à peu, laissant Jessica seule face à son destin. Bien décidé à sauver son mari, elle demande l’aide de ses seuls alliés : sa meilleure amie Mindy, venue des États-Unis, et le cousin de Lucius, Raniero Lovatu. Mais a-t-elle raison de leur accorder sa confiance ? Quels secrets cachent-ils ? Alors qu’elle est sur le point de perdre tout ce qui lui est cher, Jessica doit trouver un moyen de vaincre ses opposants et de s’affirmer en tant que souveraine.
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Le premier tome ne m'avait pas enthousiasmée plus que ça, c'est donc avec une certaine réticence que j'ai lu ce second opus. Une chose est certaine, ça n'a rien à voir, j'ai préféré cet univers. Fini les enfantillages de lycéens, faites place à quelque chose de sombre, de princier et d'ultra addictif. En un mot, j'ai adoré !
Lors du précédent tome, je me souviens qu'Antanasia m'avait quelque peu tapée sur les nerfs. J'ai toujours eu du mal avec les héroïnes qui pleurnichent sans cesse sur leur sort. Malheureusement pour moi, elle reste inchangée pendant la première moitié du récit. C'est une demoiselle en détresse qui attend sans cesse que son prince vienne l'aider en lui prenant la main (et ce n'est pas métaphorique...). Incapable de prendre seule des décisions, elle préfère fuir et s'enfermer dans sa chambre, la tête plongée sous l'oreiller alors que son tendre époux est enfermé dans un cachot, à l'agonie. A un moment j'ai presque eu envie de crier "Mais secoue toi, espèce de Ficus mal arrosé !", mais quelqu'un l'a fait pour moi, Raniero, le cousin de Lucius. C'est à partir de ce moment qu'Antanasia est devenue une redoutable reine, qui prenait enfin le destin de son mari en considération. Brave gamine. En définitive, j'ai pu l'apprécier pour la toute première fois.
Les aïeux sont toujours aussi détestables et je suis bien contente qu'une de ces vieilles corneilles soit décédée. BIEN FAIT, MAUVAIS ! (Ce moment d'immaturité vous est proposé par Un chat dans la ville !).
Par contre, quelle déception concernant Lucius ! Lui, qui apportait un énorme plus au tome 1, a totalement disparu dans le deuxième volet. Il fait quelques apparitions, mais ce n'était plus le même. Son humour et ses réflexions m'ont manqué.
Deux autres personnages font leur apparition - Mindy, la meilleure amie d'Antanasia et Raniero - et amènent avec eux, un petit vent de fraîcheur. Bien que Mindy soit trop stéréotypée, je l'ai trouvée drôle et prévenante. Raniero, quant à lui, prend une place très importante et m'a énormément plu. J'ai aimé découvrir son histoire en parallèle de celle de Lucius, il était touchant.
En ce qui concerne l'intrigue, elle n'était pas exceptionnelle, mais elle était remplie de suspense. J'ai lu 5 heures d'affilée... Un véritable page turner ! J'ai deviné rapidement qui était le coupable, mais cela ne perturbe pas la lecture puisque la révélation se fait en fin de volume. Cela m'a d'ailleurs laissé douter quelques fois sur l'identité du tueur. J'ai tout de même eu l'impression que l'auteur n'a pas réellement travaillé son enquête, on "sait" qui est le vilain au bout de 4 chapitres ! Par contre petit bémol sur la fin... Tout s'accélère trop vite, certaines questions n'ont pas de réponses et le couronnement qu'on attendait avec impatience ... n'a pas lieu.
J'ai adoré plonger dans le monde politique des princes de la nuit et dans leur mode de vie brutal. Dans la plupart des romans, ils sont représentés comme de sympathiques petites bêtes à crocs, inoffensives, suivant à la lettre près un code de conduite et qui tentent désespérément de changer les mœurs. Alors que là, nous avons des êtres sanguinaires, des tueurs sans foi ni loi qui traitent la violence par la violence et qui sont prêts à exécuter d'un pieu bien placé, le premier clampin qui se mettra en travers de leur chemin.
Dans l'ensemble, ça reste cohérent et j'ai aimé voir un nouveau point de vue.
Pour conclure, cet univers sombre est réussi à merveille et nous entraîne dans les bas-fonds d'un château de vampires, situé en Roumanie. Vous serez face à une histoire captivante qui vous poussera à le terminer d'une traite. Ca ne rigole pas chez les vampires ! L'intrigue et la résolution de l'enquête ne sont pas bluffantes et pourtant vous prendrez un grand plaisir à démêler les méchants des gentils.
C'est un excellent second tome et j'en redemande encore et encore !
Lors du précédent tome, je me souviens qu'Antanasia m'avait quelque peu tapée sur les nerfs. J'ai toujours eu du mal avec les héroïnes qui pleurnichent sans cesse sur leur sort. Malheureusement pour moi, elle reste inchangée pendant la première moitié du récit. C'est une demoiselle en détresse qui attend sans cesse que son prince vienne l'aider en lui prenant la main (et ce n'est pas métaphorique...). Incapable de prendre seule des décisions, elle préfère fuir et s'enfermer dans sa chambre, la tête plongée sous l'oreiller alors que son tendre époux est enfermé dans un cachot, à l'agonie. A un moment j'ai presque eu envie de crier "Mais secoue toi, espèce de Ficus mal arrosé !", mais quelqu'un l'a fait pour moi, Raniero, le cousin de Lucius. C'est à partir de ce moment qu'Antanasia est devenue une redoutable reine, qui prenait enfin le destin de son mari en considération. Brave gamine. En définitive, j'ai pu l'apprécier pour la toute première fois.
Les aïeux sont toujours aussi détestables et je suis bien contente qu'une de ces vieilles corneilles soit décédée. BIEN FAIT, MAUVAIS ! (Ce moment d'immaturité vous est proposé par Un chat dans la ville !).
Deux autres personnages font leur apparition - Mindy, la meilleure amie d'Antanasia et Raniero - et amènent avec eux, un petit vent de fraîcheur. Bien que Mindy soit trop stéréotypée, je l'ai trouvée drôle et prévenante. Raniero, quant à lui, prend une place très importante et m'a énormément plu. J'ai aimé découvrir son histoire en parallèle de celle de Lucius, il était touchant.
En ce qui concerne l'intrigue, elle n'était pas exceptionnelle, mais elle était remplie de suspense. J'ai lu 5 heures d'affilée... Un véritable page turner ! J'ai deviné rapidement qui était le coupable, mais cela ne perturbe pas la lecture puisque la révélation se fait en fin de volume. Cela m'a d'ailleurs laissé douter quelques fois sur l'identité du tueur. J'ai tout de même eu l'impression que l'auteur n'a pas réellement travaillé son enquête, on "sait" qui est le vilain au bout de 4 chapitres ! Par contre petit bémol sur la fin... Tout s'accélère trop vite, certaines questions n'ont pas de réponses et le couronnement qu'on attendait avec impatience ... n'a pas lieu.
J'ai adoré plonger dans le monde politique des princes de la nuit et dans leur mode de vie brutal. Dans la plupart des romans, ils sont représentés comme de sympathiques petites bêtes à crocs, inoffensives, suivant à la lettre près un code de conduite et qui tentent désespérément de changer les mœurs. Alors que là, nous avons des êtres sanguinaires, des tueurs sans foi ni loi qui traitent la violence par la violence et qui sont prêts à exécuter d'un pieu bien placé, le premier clampin qui se mettra en travers de leur chemin.
Dans l'ensemble, ça reste cohérent et j'ai aimé voir un nouveau point de vue.
Pour conclure, cet univers sombre est réussi à merveille et nous entraîne dans les bas-fonds d'un château de vampires, situé en Roumanie. Vous serez face à une histoire captivante qui vous poussera à le terminer d'une traite. Ca ne rigole pas chez les vampires ! L'intrigue et la résolution de l'enquête ne sont pas bluffantes et pourtant vous prendrez un grand plaisir à démêler les méchants des gentils.
C'est un excellent second tome et j'en redemande encore et encore !
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